* - Écu - s.m. - phonétique : é-ku ; du latin : scutum - du signifiant bouclier ; du grec skutos = peau - cuir ; se rattache à la racine : sanskrite : skit précisant : ouvrir- Comparer : latin : cutis = peau ; l’ancien slave : shtitu pour shkitu ; a donné naissance à : scyld angle-saxon ; ancien allemand : scilt définissant : bouclier.Au Moyen Âge : les cavaliers avaient leurs écus criblé de traits. ; une devise des chevaliers: combattre à cheval avec la lance et l’écu.L’écu portait le symbole héraldique d’un pays, d’un bourg, d’une famille., d’un clan guerrier.
1- . En février 1227, la « Reine blanche - Blanche de Castille » en deuil de son mari, le roi Louis VIII, accompagnée de son fils , le futur roi Louis IX - Saint Louis, et d’une petite armée, en direction de Nantes, pour une action punitive, contre Mauclerc, comte .De passage à Gué Célard où elle fit une étape , en gratitude de l'accueil reçu par la totalité des habitants ; elle fit don au nom de Royaume de Frzzanvce, aux habitants de Guécélard du droit d'aller et de venir sur sa propriété du : " Bourray", du droit de cueillette de fruits sauvages, de ramassage de champignons, de bois ppur le chauffage, et la construction ; , et celui de pâturage aux bovins, ovins, caprins, et porcins ; à eux et leurs descendants 6 réf. B.N.F. de Paris ; bibliothèque des Charrtes ; A.N. du Centre de Paris etc.
* - Fillé en 1795, était une commune - 8 constituée, et fonctionnant . Possédant une église, un presbytère, une école une mairie, un maire , un adjoint , cinq Conseillers Municipaux, sur les Registres de la Convention le 20 septembre 1799, la population s’élevait à 585 habitants dont 92 électeurs , une superficie de 1.007 hectares, un déficit de 937 fr 97 cts., et 3.935 mètres de chemins vicinaux à entretenir,
* - Guécélard en 1795, a été rattaché : territoire et population à Fillé légalement, administrativement . Il avait une église, un presbytère, une école, pas de mairie, ni d’annexe de mairie , cinq Conseillers Minicipaux ( non élus ), même références : 579 habitants dont 91 életeurs, et 1.218 hectares, 872fr.67cts. , et 8.435 mètres de chemins vicinaux.
L ‘évêché du Maine au Mans, avec l’appui des moines de l’Ordre Bénédictin de l’abbaye de Saint Mesmin de Micy près d’Orléans, via le Prieuré Saint Pierre de Parigné-le-Poslin ; tenta d’élever Guécélard en : « Paroisse » du Gué de Seelard en 1250 ; puis Notre Dame du Gué Saalard en 1289 ; et enfin, Vado Celladi vel Sellardi en 1468. Ces essais se sont inéluctablement soldés par de cuisants échecs. Guécélard fut adjoint au doyenné de Oizé, de l’archidiaconé de Château-du-Loir, du diocèse du Maine au Mans, présentateur l’Abbé de La Couture, collateur l’évêque du Mans, de l’archidiocèse de Tours, de la IIème, puis IIIème Lyonnaise de Lyon ; attaché dans le doyenné d’Oizé, Le lieu de Guécélard, dépendait du Prieuré-seigneurie d’Oizé, annexe de l’Abbaye de Vézelay, diocèse d’Autun ; en Bourgogne.
Guécélard n’a été érigé en Municipalité distincte que le 31 juillet 1880, soit 85 ans plus tard ; dans des conditions bien spécifiques. . La préparation du 1er Conseil Municipal s'est tenu le 27 juin 1880. Cet élévation a été réalisée par l’annexe n°2944 de la loi du 13 juillet 1880, votée par la Chambre des Députés le 12 juillet 1880 ; adoptée par le Sénat lors de sa séance du 15 juillet 1880 ; signé par Jules Grévy, Président de la République Française le 15 juillet 1880 ; contre signée par Constan - Ministre de l’Intérieur. Dissociant de ce fait de la commune de Fillé-sur- Sarthe, à laquelle elle a été adjointe en 1793. Union devenue effective en 1795.
Église non paroissial en 1880 de Guécélard - la quatrième, construite sur un terrain acquit par Joseph-Auguste-Emmanuel Rottier de Moncé, chanoine honoraire au Chapitre de la Cathédrale Saint Julien du Mans, selon acte notarié enregistré le 5 mai 1841 devant maître Th. Meslin, notaire à Laigné-en-Belin ; de Eugène Grassin, Maître de Poste à Guécélard.Consacrée par Monseigneur de Bonfils de Forcalquier , évêque du Mans, au vocable de la Nativité de la Vierge Marie 2 octobre 1900. Style, inspirée fortement du gothique du XIIIème siècle, par Monsieur Vérité-architecte, et élaborée Monsieur Coulommier, entrepreneur.
À côté, la première Mairie de Guécélard, officialisée le 31 juillet 1880, zt en retour d’équerre, ave le panneau d’affiche, la 1ère école mixte , à classe unique. On remarquera les deux marronniers de la cours de récréation.
Madame Boille, institutrice à Guécélard 1905/1910 - Salle de classe unique de l’école, 1ère école de Guécélard,
Guécélard, ne devint une commune Française qu’après l’installation en fonction du premier Conseil Municipal en 1881, se composait de Messieurs,
- Augustin, maire,
- Pivron Alexandre, premier adjoint,
et dix conseillers municipaux, par ordre alphabétique,
- Bazoge Pierre, au Taillis - Bougard Julien à la Ronceraie - Davoine - Joseph, à Mondan - Fournigault Jean, au Chêne Vert - Fournier Louis au Bourg - Langevin Marcel, au Mans - Livache Constant, à la Poterie - Maucort Ambroise, au Mans - Pourriau Henri, au Mans - Robin Jacques, à la PrieulerieProcés verbal de la1ère séance du Conseil Municipal
- que la population agglomérée c’est à-dire du bourg de Guécélard était de 123 habitants en 1877, 424 répartis en campagne, ce qui fait un total de 547, dont 172 électeurs. La répartition était de 25 habitants au Vieux-Bourg, 39 côté droite de la RN.23 direction La Flèche, et 36 pour le côté gauche.
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